Douleur
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Douleur
Douleur
Il y a de nombreuses conséquences sur l’organisme de l’effet de la douleur : troubles digestifs, ralentissement de la cicatrisation, affaiblissement du système immunitaire, anorexie, trouble cardiaques (baisse du débit sanguin) et –ou respiratoires, resserrement des vaisseaux.
Ces effets sont liés à l’activation de catécholamines et à l’activation corticosurrénalienne.
Traiter la douleur permet de freiner les effets cités.
Le processus douloureux (nociception) fait appel à des mécanismes périphériques grâce aux récepteurs nocicepteurs qui sont activés par les stimulations mécaniques, chimiques et-ou thermique.
La nociception active également des mécanismes centraux (moëlle épinière puis encéphale).
En effet, le système nerveux est composé du SNCentral, c’est à dire de l’encéphale (cerveau, cervelet, bulbe rachidien) et de la moelle épinière (dans la colonne vertébrale) ; et du SNPériphérique c’est à dire de l’ensemble des nerfs et des ganglions.
Le SN est aussi qualifié suivant son rôle : on a le SN somatique qui met l’organisme en communication avec l’extérieur et le SN végétatif qui régule les fonctions viscérales (respiration, digestion, circulation).
Ce dernier est divisé en SV parasympathique et en SN sympathique.
Le SN parasympathique ralentit les fonctions viscérales (sauf la digestion qu’il amplifie)
Le SN sympathique fait l’inverse.
Les cellules nerveuses sont appelées des neurones.
Ils communiquent de l’un à l’autre (transmission de l’information) grâce aux neurotransmetteurs.
Le SN parasypathique utilise l’acétylcholine alors que le SN sympathique utilise l’adrénaline ou la noradrénaline.
Les cholinergiques sont des substances qui amplifient l’acétylcholine (ils activent d’avantage le SN parasympathique) tandis que les anti-cholinergiques entravent l’action du SN parasympathique.
Le nerf est un tendon relié aux muscles.
Il a deux rôles : transmettre le message de la douleur et du mouvement.
Un choc par exemple, peut provoquer deux types de réactions : une réponse immédiate ou une réponse volontaire.
La première est liée à la moelle épinière, la seconde passe aussi par la moelle épinière puis par l’encéphale.
De la moelle épinière naissent deux racines (qui constituent le nerf) : antérieure (mouvement) et postérieure (douleur, sensations).
Un traumatisme de la moelle épinière empêche l’information des nerfs de circuler : il y a paralysie et insensibilité.
Les plantes à salicine ou composés proche comme le saule, la reine des prés, exercent une analgésie légère.
Le lactucarium, l’harpagophytum sont des analgésiques moyens.
La corydale, le cannabis, la datura et autres solanacées, le gelsémium, l’aconit, la grande ciguë, le Piscidia, l’opium sont des analgésiques puissants.
Il y a de nombreuses conséquences sur l’organisme de l’effet de la douleur : troubles digestifs, ralentissement de la cicatrisation, affaiblissement du système immunitaire, anorexie, trouble cardiaques (baisse du débit sanguin) et –ou respiratoires, resserrement des vaisseaux.
Ces effets sont liés à l’activation de catécholamines et à l’activation corticosurrénalienne.
Traiter la douleur permet de freiner les effets cités.
Le processus douloureux (nociception) fait appel à des mécanismes périphériques grâce aux récepteurs nocicepteurs qui sont activés par les stimulations mécaniques, chimiques et-ou thermique.
La nociception active également des mécanismes centraux (moëlle épinière puis encéphale).
En effet, le système nerveux est composé du SNCentral, c’est à dire de l’encéphale (cerveau, cervelet, bulbe rachidien) et de la moelle épinière (dans la colonne vertébrale) ; et du SNPériphérique c’est à dire de l’ensemble des nerfs et des ganglions.
Le SN est aussi qualifié suivant son rôle : on a le SN somatique qui met l’organisme en communication avec l’extérieur et le SN végétatif qui régule les fonctions viscérales (respiration, digestion, circulation).
Ce dernier est divisé en SV parasympathique et en SN sympathique.
Le SN parasympathique ralentit les fonctions viscérales (sauf la digestion qu’il amplifie)
Le SN sympathique fait l’inverse.
Les cellules nerveuses sont appelées des neurones.
Ils communiquent de l’un à l’autre (transmission de l’information) grâce aux neurotransmetteurs.
Le SN parasypathique utilise l’acétylcholine alors que le SN sympathique utilise l’adrénaline ou la noradrénaline.
Les cholinergiques sont des substances qui amplifient l’acétylcholine (ils activent d’avantage le SN parasympathique) tandis que les anti-cholinergiques entravent l’action du SN parasympathique.
Le nerf est un tendon relié aux muscles.
Il a deux rôles : transmettre le message de la douleur et du mouvement.
Un choc par exemple, peut provoquer deux types de réactions : une réponse immédiate ou une réponse volontaire.
La première est liée à la moelle épinière, la seconde passe aussi par la moelle épinière puis par l’encéphale.
De la moelle épinière naissent deux racines (qui constituent le nerf) : antérieure (mouvement) et postérieure (douleur, sensations).
Un traumatisme de la moelle épinière empêche l’information des nerfs de circuler : il y a paralysie et insensibilité.
Les plantes à salicine ou composés proche comme le saule, la reine des prés, exercent une analgésie légère.
Le lactucarium, l’harpagophytum sont des analgésiques moyens.
La corydale, le cannabis, la datura et autres solanacées, le gelsémium, l’aconit, la grande ciguë, le Piscidia, l’opium sont des analgésiques puissants.
angelo- Messages : 407
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